Sunday, February 28, 2016

Le KIJIMEA : médicament pour guérir le syndrome du colon irritable?

Vous êtes nombreux à m'écrire des messages pour me demander mon avis sur tel ou tel médicament qui pourrait les soulager (voir les soigner) de leurs douleurs digestives, intestinales, stomacales.

Parmi ces médicaments, je voudrai citer en particulier certains qui reviennent souvent : les IPP (Inipomp, Inexium, Mopral, Lanzor, etc), les laxatifs (Spagulax, Normacol, Transipeg, Movicol , Forlax, ...).

Mais surtout je voudrai parler aujourd'hui du Kijimea.

Un médicament qui nous annonce de suite la couleur, en effet sur la pochette du médicament est écrit

"pour le traitement du côlon irritable".


kijimea colon irritable





Alors, anarque ou réalité?

Est-ce que ce médicament Kijimea peut guérir le syndrome du côlon irritable?

Et de façon générale, est-ce que un de ces médicaments peuvent vous aider à guérir?

Voici ma réponse :

Thursday, February 25, 2016

On m'a diagnostiqué le syndrôme du colon irritable : que faire?

Voilà, vous souffrez le martyr H24, vous êtes allés voir nombre de fois votre médecin, et celui-ci après vous avoir fait quelques examens (coloscopie, prises de sang, etc.) vous a sorti le diagnostic :

"Vous avez le syndrôme du colon irritable".

Et vous a sorti la panoplie de médicaments chimiques : Meteospasmyl, Debridat (Trimebutine), Dicetel (Pinaverium), Mebeverine, Spagulax, Transipeg, Resolor, etc.

Vous ressortez avec une ordonnance bien remplie (digne d'une liste de courses de supermarché !).


Au début, vous êtes tout content :

"youpi, je vais pouvoir remanger tout ce que je veux grâce à ce médicament qui va m'enlever toutes mes douleurs!".

Mais cette euphorie va vite retomber car...


... vous réaliserez très vite qu'aucun de ces médicaments ne vous soulagera de vos douleurs.



Retour à la case départ : je vais revoir mon gastro-entérologue pour la 20ème fois ou bien je pars à la recherche d'un autre gastro-entérologue bien plus compétent (qui lui c'est sûr, j'y crois à fond !!) va me trouver un médicament miracle pour me soulager de mes douleurs !



Et là, quand vous aurez vidé votre porte-monnaie, épluché l'annuaire des gastro-entérologues, que les gastro-entérologues eux-mêmes vous auront fait essayer tous les médicaments chimiques existants, l'un d'entre eux vous matraquera alors du coup final :

"C'est dans la tête, allez voir un psy". 
"C'est le stress".


Alors, que faire dans ce cas là?

Se tirer une balle? NON
Aller voir un psy? NON
Envisager une vie avec des douleurs physiques chaque jour? NON


Aussi je vais vous donner le mode d'emploi complet des choses à faire pour vous soulager.



syndrôme du colon irritable: que faire pour guérir



Et peut-être un jour pouvoir envisager une vie sans douleur et maux quotidiens :

Tuesday, February 23, 2016

Chouquettes parfaites


Dans un monde parfait, je rédigerais ce billet depuis un ordinateur, une tasse de thé fumant à ma droite, une belle vue sur le jardin à ma gauche. Dans un monde parfait, j'aurais un véritable appareil photo, mes chouquettes seraient dorées à point, ma vaisseille serait assortie à mon linge de maison et ma maison orientée plein sud. Dans cet autre monde, j'illustrerais mon billet d'un pas-à-pas, je publierais mes billets tous les mardis à heure fixe et tout serait pour le mieux dans le meilleur des mondes.

En réalité, je rédige ce billet sur mon iPhone, une couverture en acrylique sur les genoux, une tasse de thé à la main gauche, pendant que Jonathan regarde un ancien épisode de Star Trek à la télé. Mon appareil photo a rendu l'âme il y a plusieurs semaines, je prends mes photos avec un téléphone et retouche mes clichés sur Instagram à un feu rouge. Ma vaiselle est blanche, je n'utilise plus de nappes et ma maison est mal éclairée. Il se fait tard et je devrais aller me coucher. Les chouquettes, elles, sont gonflées et parfaitement dorées. 

Chouquettes parfaites

Ingrédients pour 4 à 6 gourmands

20 cl d'eau
90g de beurre doux, de préférence bio (organic unsalted butter)
140g de farine (all purpose flour)
4 gros œufs (large eggs)
1 pincée de sel
Sucre perlé (pearl sugar, à retrouver dans certains magasins IKEA et épiceries fines)

Préparation 

Préchauffer le four à 220°C (425°F). Dans une petite casserole, porter le beurre et l'eau à ébullition. Oter aussitôt du feu et verser la farine en une fois. Incorporer avec un fouet jusqu'à obtenir une pâte qui se décolle des parois. Incorporer les œufs un par un jusqu'à obtenir un appareil souple mais homogène. 

A l'aide d'une poche à douille, de deux cuillères à soupe ou d'une petite cuillère à glace, déposer des petits tas de pâte sur une plaque de cuisson recouverte d'une feuille de papier sulfurisé ou d'un tapis en silicone. Saupoudrer de sucre perlé et enfourner 12 à 15 minutes, jusqu'à ce que les choux soient bien dorés. Laisser refroidir et déguster. 

Monday, February 22, 2016

Comment trouver le bon régime alimentaire pour guérir?

Hello tous et toutes,

Maintenant que je vous ai expliqué toute mon histoire dans la maladie depuis 4 longues années, et comment enfin je vais mieux et je m'en sors, je me dois - à travers ce blog - de vous donner toutes les clés pour que vous vous en sortiez aussi à votre tour.


Aussi, j'ai décidé de vous construire un mode d'emploi, avec toutes les étapes à suivre pour trouver votre propre combinaison de régime, qui vous permettra de ne plus souffrir quotidiennement, comme moi aujourd'hui.





Voici tout le détail de toutes ces étapes à suivre pour y arriver :

Saturday, February 20, 2016

Sur un tapis roulant


Quitter les BVI pour revenir sur les îles du Sud de l'arc antillais nécessite une bonne fenêtre météo.
Le bord vers Saba est vite inconfortable si l'alizée d'Est est établi. Il faut donc au mieux du Nord/Nord-est ou au pire pas de vent et 80 miles nautiques à avaler au moteur.

Les informations téléchargées via notre application préférée Weather 4D annonçaient un début de nuit sans vent puis un très léger Nord d'une dizaine de noeuds devait se lever en milieu de nuit.
Nous avons choisi de quitter Virgin Gorda à 17h30 afin de s'éloigner des pièges des côtes de jour (récifs, filets, bouées...).  Tant pis si cela nous impose les premiers miles sous risée gasoil...
À peine sortis du Necker Passage, nous sommes happés par un vent de Nord Est. En voilà une bonne nouvelle !!
GV et Génois nous extirpent des eaux British à l'heure du dîner sur une mer peu agitée.
Parfait... Cela est de bonne augure pour la nuit à venir.
Dame Nature nous encourage même pour nos heures de veille à venir en nous offrant le spectacle majestueux d'une énorme baleine devant nos étraves. Nous n'en avions jamais des aussi grosses et surtout aussi près !!!
À deux doigts de détourner notre route pour ne pas la heurter, elle disparaît dans les profondeurs.
Ouf...Oui mais faudrait pas qu'il lui prenne l'idée de ressortir pile sous notre cata.
Gloupsss... On avance, on observe. Rien... Alors que nous l'imaginons tutoyant les abysses, la belle bête ressurgit juste derrière nos jupes en un ballet somptueux et un dernier plongeon à la tombée de la nuit.
Sa queue aussi large que notre bateau s'est enfoncée sans un bruit dans l'océan et nous a laissé cois.
Pas mal pour commencer notre nuit de nav, non ?

Nous n'aurons finalement qu'un trou de vent de 22h à 23h, nous obligeant à rouler le génois et appuyer avec un moteur à 2500 tours/mn.
Tout le reste de la nuit nous serons poussés à 7 nds de moyenne par un vent de Nord inattendu à 20/25 noeuds.
Ti'Amaraa s'éclate sous GV et Code Zéro sur une mer des Caraïbes un peu formée. Ça bougeotte tout de même.
Le compteur de miles défile. Nous sommes obligés de réduire du Code Zéro au Génois au petit matin pour pouvoir négocier une arrivée de jour sur Saba. Nous pensions mettre 14h, nous n'en aurons mis que 12h. Nous pensions accumuler des heures moteurs, nous n'en aurons fait que 2.
Nous sommes presque frustrés d'arriver si vite. ;-)
Est ce cette envie de continuer ou le côté inhospitalier des mouillages de Saba qui a décidé de la suite ? Seul le vieil homme de la Mer le sait.


Après une petite heure a exploré la belle côte accidentée de Saba, la conclusion de l'équipage est sans appel. L'île a l'air belle mais côté terre uniquement.
Il n'est que 7 heures du mat. Le vent et la mer sont favorables.
On remet les voiles en ordre de bataille. FEU !!!


La locomotive Ti'Amaraa reprend sa route (au près pour le coup) sur son tapis roulant, mouvant aquatique toujours à 7 noeuds.

9h: Gare de Statia 
Pas d'arrêt
La micheline n'en fait qu'à sa tête. 
Les passagers sont priés de rester assis.
Ça continuuuuue.



13h30: Gare de St Kitts
Mutinerie de l'équipage.
Terminus du jour !
Tout le monde descend :-)
Non mais, c'est qui le tolier !!!
Si on le laisse faire ce bateau, il ne s'arrêterait jamais.

La compagnie Ti'Amaraa espère que vous avez passé un bon voyage et espère vous revoir bientôt sur ses flots.


Friday, February 19, 2016

Mise à jour : suivre le régime Paléo AIP à 100%

Bonjour,

Attention, attention, j'ai fait une mise à jour de mon post précédent, et vu l'importance de cette mise à jour, je ne peux que vous l'indiquer!



non AIP inflammation





Quelle est cette mise à jour? :

Thursday, February 18, 2016

Des ''other'' chez les anglos

Lorsque l'on remplit les formulaires d'entrée aux îles vierges britanniques BVI (prononcez Bi-Vi-Aïïe pour être tendance),  il faut remplir la mention nationalité des membres d'équipage...
3 cases s'offrent à vous:
UK ?
Ben oui Le B de British tout de même
USA ?
Même langue, des îles voisines... Soit...
3ème case: Other... Les autres.
Cela nous a fait sourire. On n'a pu s'empêcher de penser à nos soirées devant les Guignols de Canal + et son Commandant Sylvestre et les ''restes du monde''.
Nous sommes donc officiellement des others. Cela n'empêche pas de profiter du sourire et de la gentillesse des agents de douane et d'immigration de Gun Creek à Virgin Gorda.
Cependant, cela met dans l'ambiance pour le reste du séjour.
Nos voisins,  bateaux de propriétaires ou de location,  seront principalement anglophones: anglais, américains, canadiens, australiens...
Peu de ''fromages qui puent'' par ici
Et c'est dommage... Pour eux !!
La réputation de formalités lourdes et pointilleuses est dans notre cas de la science fiction.  Tout s'est passé en quelques minutes pour une poignée de dollars US.
Si l'on a fait un avito correct à St Martin, on peut y vivre sans avoir le compte en banque des propriétaires de ses îles.

Ti'Amaraa a promené ses coques librement près de la maison de Richard Bronson sur Necker Island, près de l'île du fondateur de Google: Eustatia Island, mais aussi dans des mouillages solitaires comme à Salt Island, Norman Island ou Virgin Gorda.
La vue et la vie ne s'achètent pas.

Seuls aux Baths !!!

Nous avons passé ici des soirées merveilleuses sous un ciel multi-étoilés mouillé parmi les yachts et autres bateaux de voyage et de location....où seuls au monde.



Aux BVI, on peut vivre tout et son contraire à quelques miles nautiques d'écart: l'affluence des baies réputées sur bouées (30$Us par nuit, WiFi 30$Us la journée, dépôt de poubelle 3$Us...) et des recoins déserts (où officiellement il est interdit de passer la nuit pour certains ).
Nous avons fait un mix des deux.



Excités à l'idée de plonger en autonome sur la célèbre épave du RMS Rhône à Salt Island, nous avons laissé notre Ti'Amaraa sur bouée à Manchioneel Bay à Cooper Island et ainsi rejoint notre spot avec ti Ti'Amaraa.

42 minutes de pur bonheur par 25 mètres de fond seuls au monde.
Lorsque l'on part plonger en autonome, il est rassurant de savoir son bateau en sécurité sur bouée.




Les coins les plus réputés pour leurs beauté comme les Baths de Virgin Gorda, Pelican Island et ses ''Indians'', les grottes de Norman Island sont logiquement hyper fréquentés. Des daycharters déversent des palanquées de touristes dérivant sur leurs frites fluo une main agrippée à leur canettes soda,  l'autre au sifflet de leur gilet de sauvetage...On ne sait jamais.
Tout ce petit monde barbote, recouverts d'une épaisse couche de crème solaire, dans l'espoir de voir passer THE poisson devant l'objectif de leur bridge étanche. Nous en avons croisé des touristes mais il faut reconnaître que l'on a côtoyé des pros par ici !!!
Les mêmes partent à terre suréquipés alors que l'île n'est qu'un petit caillou.
Sachez qu'au top tendance du trekker aux BVI, il faut: casquette coloniale avec rabat sur la nuque, lunettes de soleil du futur attachées autour du coup,  sac à dos rempli de ????..., gourde à la main dans sa housse isotherme,  pantalon de brousse, banane cuir à la taille et le must chaussures de Jésus Christ ou mocassins avec socquettes (so chic !)
Vous nous excuser nous n'avez pas fait de photos...Mais on vous assure ça faut le coup.

Plaisanteries mises à part, les BVI sont pour nous le meilleur bassin de navigation jamais rencontré aux Antilles.
Le paradis de la voile !!!
Les conditions météo ont été constantes: vent 15 à 25 nds sans trop de rafales, peu de grains, pas de houle. Le top!!
Bien que les distances inter-iles soient courtes, toutes les voiles sont dehors. Ça régate sur le plan d'eau. De certains mouillages comme Gorda Sound, nous avons compté plus de 30 voiliers dans la passe de sortie au petit matin toutes toiles au vent. C'est beau à voir.
À vivre c'est plaisant bien qu'un brin épuisant car il y a des bateaux partout dans tous les sens,  de toutes allures, de tous niveaux de pratique... Pas le temps de buller, on est là pour avancer.

Le soir, la foire continue pour certains avides des bouées restantes dans l'anse convoitée. Il n'est pas rare de voir plusieurs bateaux foncer vers le même but avec l'équipier/chevalier en figure de proue la gaffe pointée vers son Graal.
Et comble du chic lorsqu'on est au mouillage, laisser fonctionner son groupe électrogène toute la nuit pour profiter d'un sommeil climatisé...n'en déplaise aux voisins pour le ronron.

Ceux sont ces anses que nous avons évitées au maximum pour privilegier nos petits coins version '' école buissonnière ". Chacun son truc. Il en faut pour tout le monde.
Avec une bonne annexe, on peut sans problème rejoindre tous les spots voulus en laissant son bateau dans des baies moins fréquentées et surtout gratuites (!). En plus de dix jours sur place, nous n'avons payé que 2 nuits. À chaque fois, c'était un choix. L' alternative ''mouillage'' était possible.

Notre coup de coeur: Peter Island et sa White Bay.


Nous aurions pu y rester des jours et des jours. Entre ballade à terre sur un chemin aménagé pour les clients des riches resorts, snorkelling et plage de sable doré non privatisée, tout est disposition aussi du visiteur de passage.
Bien sûr,  il faut respecter les règles implicites de savoir vivre et de respect de l'intimité des riches clients.
La zone de baignade est délimitée par des bouées. Nous ne l'avons jamais traversée en annexe. Nous nous sommes rendus à terre à la palme. De même, sur la plage des huttes en bois sont aménagées par les hôtels pour leurs guests avec mobiliers de plage assorti. Malheureusement, nous avons vu des touristes ancrer leur voilier au bord de la zone de baignade, zigzaguer avec leur dinghy dans la swim area, et bien sûr se vautrer en journée sur les transats d'une hutte vide.
Merci les gars !! Grâce à vous, un jour tous ces jolis coins seront ''private''.

Enfin bref, cela n'a entaché en rien notre plaisir dans cette aire de jeux que sont les BVI.
À terre, sur l'eau, sous l'eau, tout est beau. Il faut prendre et surtout avoir le temps pour pouvoir en profiter sereinement. Le temps, c'est notre luxe.




Contre toutes attentes, c'est aussi un espace de liberté comme nous les aimons.
Il existe en effet une multitude de baies accessibles gratuitement où l'on peut passer jours et nuits sur son ancre sans avoir à débourser la moindre redevance, sans être assailli par des boyboat.
Les sites de plongée réputés sont repérables par des bouées mises à disposition de tous: professionnels comme plongeurs autonomes de passage. Tout ça avec le sourire !!!
Il y a de la place pour tout le monde par ici.
De même, près des zones d'intérêt, souvent appartenant au Parc Marin préservé, tout est mis en place pour que l'on puisse en profiter en respectant la consigne d'interdiction de beacher les annexes et d'ancrer.
Pour ce faire, des bouées sont mises à disposition gratuitement pour une utilisation à la journée. Aucun dollar n'est collecté auprès des plaisanciers. Sur les guides nautiques, il est stipulé que lors des formalités d'entrée l'on doit acheter un pass permettant l'utilisation de ces fameuses bouées. Personne n'a su nous renseigner... Et à vrai dire personne ne semble vraiment savoir où se situe le fameux bureau ;)). Du coup personne n'a ce pass ;))... Et personne ne vient contrôler ou pire verbaliser pour autant. No stress...

Aussi, lorsque l'on arrive sur ces zones en annexe, des aménagements sont prévus pour accrocher les annexes sur un bout tendu entre 2 bouées bleues. Nickel !!!

Un bel exemple de beauté offerte aux visiteurs: Les Baths.


Nous avons opté pour la visite un samedi en misant sur le chassé croisé des touristes à l'heure des check-in and out.
Bonne pioche !!!
Il n'y avait presque personne. Nous avons pu en pleine après-midi se promener des heures quasi seuls parmi ce dédale merveilleux de roches granitiques bordées de piscines naturelles couleur émeraude.
Des faux airs du Chaos de la Balme dans le Tarn (Sidobre),  lieu de villégiature du Cap ado, avec la mer, la plage et les couleurs en plus. Nous avons adoré jouer comme des enfants entre baignades, escalades et cache-cache dans les cavités.


Une succession de plages, de grottes, de bassins somptueux à ne rater sous aucun prétexte si vous passez dans le coin.

Pas de pass d'entrée,
Une bouée gratuite pour Ti'Amaraa, un bout et des copains annexes pour ti Ti'Amaraa,
Pas de Marine Ranger ou autre uniforme flottant qui vous dévisagent comme si vous aviez volé La Joconde,

Les others vous remercient !!!
Respect !!!

Bien qu'ayant traîné nos masques et tubas dans les célèbres grottes au trésor de l'île éponyme de Mr Stevenson,  nous repartons toutefois bredouilles.
Ni pierres précieuses,  ni doublons espagnols d'une autre époque.
Nous repartons riches de panoramas uniques inoubliables, de moments d'éternité et d'une confiance renforcée quant à l'existence de petits paradis libres chers à nos valeurs.



Ainsi se termine en apothéose notre boucle ''nord Caraïbe'', la météo s'annonce clémente pour le bord vers Saba.

Nota:
Comme il nous est difficile de faire un choix parmi les photos, et que nous avons peu de réseau Internet, nous allons préparer un montage vidéo qui sera en ligne sur la chaîne Ti'Amaraa sur Vimeo.com, dès qu'une cyber escale nous l'accordera.

Wednesday, February 17, 2016

Liste des aliments AIP, pauvres en FODMAP, histamine et fructose

Mon régime alimentaire de guérison, comme vous le savez tous est la combinaison de plusieurs régimes :

AIP + pauvre en FODMAP + pauvre en histamine+pauvre en fructose.

AIP pauvre en FODMAP pauvre en histamine pauvre en fructose



Chaque composante de ce régime n'est pas "tirée" au hasard, mais le fruit de 4 années de douleur, et 1 année entière pour composer ce régime qui me permet aujourd'hui au bout de 4 mois de pratique de n'avoir quasiment plus aucune douleur  :
  • AIP : les aliments non AIP m'irritent et me créent une inflammation intestinale (avec douleurs intestinales mais aussi musculaires)
  • Pauvre en FODMAP : les aliments riches en FODMAP me donnent des spasmes, gaz, ballonnements intestinaux
  • Pauvre en histamine : les aliments riches en histamine me donnent une réaction histaminique (maux de tête, crampes, colite, reflux, etc)
  • Pauvre en fructose : j'ai une malabsorption du fructose qui m'a été diagnostiqué via le test respiratoire du SIBO. Les aliments riches en fructose me donnent colite intestinale aigues, gaz, spasmes intestinaux



Donc actuellement, qu'est ce que je mange et que peut-on manger lorsqu'on suit ce régime alimentaire?

Je vous en donne tous les détails, et la liste entière de tous ces aliments :

Tuesday, February 16, 2016

Entretien avec Cécile Delarue, journaliste et créatrice de "French and Parfait" (Los Angeles)

Cécile Delarue, c'est une sorte de super héroïne à la française : depuis Los Angeles, où elle vit depuis cinq ans, cette journaliste s'est donnée comme mission de dépoussiérer l'image vieillote qu'a souvent la cuisine française aux Etats-Unis. Armée de son accent frenchy, d'un humour au second degré et de sa caméra, Cécile partage ainsi régulièrement ses recettes d'inspiration française sur sa page French and Parfait. Les vidéos de Cécile sont drôles et accessibles - la galette des rois a l'air d'un jeu d'enfant avec elle ! - si bien que sa page Facebook compte aujourd'hui plusieurs milliers de fans dans le monde. J'ai voulu en savoir plus sur le parcours de cette jeune femme et, à défaut de pouvoir prendre un café avec elle, je l'ai invitée à répondre à mes questions ici. Merci Cécile de d'être prêtée au jeu !

1 - Commençons donc par le commencement : comment est née l'idée de "French and Parfait" ?

D’abord parce que j’étais frustrée de ne pas pouvoir m’adresser aux Américains. Je suis journaliste, je raconte l’Amérique aux Français pour la presse écrite ou la télé en France… J’ai eu envie de faire un peu le contraire, raconter la France à mes voisins américains. Ca me faisait rire,de voir partout cette image de Française parfaite et en même temps super énervante que les Américains ont de nous. Et puis j’adore bien manger. Faire la cuisine. Beaucoup plus de cuisine française depuis que je suis expatriée et que j’ai des envies de blanquette de veau à tout bout de champ… D’où l’idée de créer ce personnage de French and perfect girl, la Française parfaite qui t’explique comment cuisiner.


2 - Tes vidéos sont French et parfaites comme toi : drôles, claires et très bien éditées. J'imagine que ton parcours de journaliste t'aide dans l'élaboration de tes vidéos : quels conseils aurais-tu pour quelqu'un qui voudrait explorer ce support ?

Beaucoup de patience ! J’adore la vidéo, c’est mon premier mode de communication, j’ai fait la plupart de ma carrière de journaliste à la télé, mais quand il s’agit de tout faire tout seul chez soi, c’est encore autre chose ! Je dois me filmer moi-même, filmer la recette, faire le montage… C’est beaucoup plus long que de juste mettre un filtre sur une photo Instagram ! Mon conseil donc : faire simple. D’abord, avec ce que l’on a. Filmer avec son smartphone, monter avec un logiciel familial… Pour ensuite compliquer le jeu. L’important, c’est toujours, en premier, le message que l’on veut transmettre.

Crédit photo : French and Parfait
3 - A en juger par les commentaires de tes fans en délire sur ta page Facebook, ton audience est très internationale. Qu'est-ce qui attire les intenautes à vouloir devenir French et parfait ?

La cuisine française suffit à attirer… Moi j’essaie surtout de montrer que c’est simple. Je ne suis pas une chef, pas une grande cuisinière, juste une simple fille qui aime faire de bons plats à sa famille et ses amis, le soir en rentrant du boulot. Il y a souvent une image très policée et élitiste de la cuisine française à l’étranger, comme d’un truc infaisable, réservé aux chefs. Moi je dis toujours que si 66 millions de Français font la cuisine tous les jours, ça ne doit pas être si difficile que ça!

Crédit photo : French and Parfait
4 - Tu vis en Californie depuis plus de cinq ans, quelles habitudes culinaires pas très French et parfaites as-tu adoptées ici ? 

Je suis en Californie depuis 5 ans 1/2. J’étais venue un été à LA faire une summer session à UCLA et j’étais rentrée en jurant à mes parents que «  si il y a bien un endroit au monde où je ne vivrai jamais, c’est Los Angeles ». Il y a 15 ans, il fallait marcher 40 minutes de la fac pour trouver un café décent (les premiers Starbucks). Aujourd’hui, à LA, il y a un barrista à chaque coin de rue, tout le monde est obsédé par la bonne bouffe. C’est une des choses qui m’ont le plus marquées quand j’ai du décider de venir m’installer à LA. Tous ces restaurants qui me faisaient de l’oeil, ça ne m’était jamais arrivé aux Etats-Unis, que je croyais pourtant bien connaitre car j’y allais souvent en tant que reporter. Alors oui, je suis Angelina maintenant, j’adore une bonne kale salad de temps en temps, les burgers de Golden State sur Fairfax, les tofu crispy balls de mes copains de Starry Kitchen, le French dip de chez Philips, qui n’est pas du tout French mais super bon, la pizza aux orties de chez Gjlina

Crédit photo : French and Parfait
5 - Tu es aujourd'hui maman d'un bébé d'un an. Quels aspects de la culture alimentaire française espères-tu lui transmettre ?

Le principal pour moi c’est de lui apprendre le plaisir. Ici en Californie, on fait très attention à l’aspect bon pour la santé de la nutrition. C’est super important, mais je crois qu’on ne peut pas bien apprécier un bol de brocolis juste parce qu’on nous dit que c’est bon pour nous. Ce que j’adore avec la culture française, c’est cette idée que le repas est un bon moment de la journée qui se reproduit trois fois par jour. Donc autant qu’il soit le meilleur possible.

A noter : Cécile est également l'auteure du livre The Everyday Easy French Cookbook, l'ouvrage à offrir à tous vos amis qui veulent être French and parfaits comme elle !

Sunday, February 14, 2016

Retracer tout mon parcours : la remontée

Ma remontée...







Il est temps de vous décrire la dernière partie de mon parcours, à savoir la remontée :

Saturday, February 13, 2016

Retracer tout mon parcours : les découvertes

Je continue à vous tracer la suite de mon parcours.

retracer tout mon parcours du début jusqu'à la fin


Et c'est maintenant le temps de vous faire part des découvertes que je fais alors :

Monday, February 8, 2016

Les rendez-vous de février

Un blizzard, des écoles fermées, une nouvelle série sur mon blog, une formation chocolatée et un nouveau blog en anglais : le mois de janvier a été tout sauf ennuyeux. Février promet d'être tout aussi rempli et j'espère retrouver certains d'entre vous à l'occasion de l'un des événements auxquels j'assisterai ce mois-ci. Si vous vivez dans la région, c'est le moment de venir passer me dire bonjour !


Ce samedi 13 février de 15h à 17h, je vous donne RDV à Galer Estate Vineyard à Kennett Square, en Pennsylvanie, pour une dégustation/vente des 12 tablettes de chocolat artisanal américain que je revends sur ma boutique 37 chocolats. Vous pourrez enfin goûter aux tablettes de Map Chocolate et de Chocolate Alchemist dont je vous parle depuis des mois !

Toutes les infos sur cet événement sont ici. On notera en passant que je trouve le vin produit par Galer Estate très goûteux.

Galer Estate Vineyard
700 Folly Hill Road 
Kennett Square, PA 19348

Crédit photo : Kennett Chocolate Lovers Festival

Le dimanche 21 février, j'aurai la difficile tâche d'être juge au Kennett Chocolate Lovers Festival. Pour celles et ceux qui vivent dans la région, il est encore temps de participer au concours de pâtisserie organisé pour l'occasion. Retrouvez toutes les modalités ici.


Le vendredi 26 février, j'animerai une discussion gourmande (en français ou en anglais, en fonction de l'audience) à la boulangerie La Baguette Magique à West Chester (Pennsylvanie) à 10h. Il sera notamment bien entendu question de chocolat ! La discussion sera suivie d'une séance dédicace du Guide de survie alimentaire aux Etats-Unis.

La Baguette Magique
202 W Market Street
West Chester, PA 19382

Alors, à bientôt ?

Sunday, February 7, 2016

Retracer tout mon parcours : la chute

Retracer tout mon parcours du début jusqu'à la fin.

Après 4 années d’horreur, de douleur, d’arrêt maladie.

Vous avez été nombreux à me demander d’écrire un post avec en détail les dates, périodes et évolution de mon état.



syndrôme du colon irritable, intestins perméables ,candida, brûlures d'estomac, SIBO, gastrite, spasmes, gaz, ballonnements, intolérances alimentaires

Syndrôme du colon irritable, SIBO, candida, intestins perméables, brûlures d'estomac, gastrite, spasmes, gaz, ballonnements, constipation, intolérances alimentaires multiples, maladies auto-immunes,...

je suis passée par tous les stades, du pire au meilleur...


Comment remonter la pente quand on a atteint ce point là?
Comment croire encore à la lumière quand on souffre continuellement chaque jour?
Comment s'accrocher au fait qu'on va s'en sortir alors que la médecine traditionnelle est incapable de nous aider?


Pour que vous compreniez toutes les étapes par lesquelles je suis passée...

... je vais donc vous redonner la chronologie exacte de mon chemin vers la guérison :

Saturday, February 6, 2016

Retracer tout mon parcours du début jusqu’à la fin

Bonjour tous et toutes,

Je vais commencer par les bonnes nouvelles (j'aime commencer par les bonnes, faut toujours voir le positif avant !) : je vais mieux, bien mieux.






Je suis à nouveau en train de remonter la pente. Et j'ai d'ailleurs compris ce qui m'avait fait replonger, une erreur que j'ai faite dans mon alimentation et qui m'a finalement refaite replonger.


Je compte bien vous expliquer le pourquoi j'ai finalement rechuté et le comment je remonte à nouveau la pente :

Thursday, February 4, 2016

Point blog : votez pour les 26 futurs sujets de posts

Bonjour tous et toutes,

Etant donné que ce blog vient de passer la barre des 500 personnes abonnées, je me dis que tout ce monde inscrit doit bien avoir envie de lire ici le plus d'informations et de sujets qui pourraient l'aider au quotidien pour guérir de ses maux et douleurs.

Donc, je vais ci-dessous vous mettre une liste de sujets auxquels je pense, ceux qui à mes yeux pourraient peut-être aider certaines ou certaines parmi vous mes lecteurs.

Et donc je demande à tout le monde de cliquer sur "commentaire" sur mon blog en bas de ce post et d'y écrire les numéro des sujets qui les intéressent le plus.







Ainsi, je traiterais les sujets qui auront été demandés le plus en premier.
Et si des sujets ne sont pas mentionnés, je les zapperai peut-être du coup.


Bien entendu, vous pouvez lister autant de numéros de sujets que vous le souhaitez :)


Voici donc les sujets de futurs posts possibles :

Tuesday, February 2, 2016

En 2016, je (re)lance un blog - 2ème partie : vos motivations


Ce billet est le deuxième d'une série d'articles destinée à vous guider dans le lancement de votre blog. Je vous apprendrai notamment à définir une stratégie digitale pour faire connaitre votre blog dès son lancement. En attendant, je vous invite à rejoindre le groupe d'entraide sur facebook et parcourir les autres articles de la série

Avant que je ne vous explique comment j'ai relancé mon blog, j'aimerais vous expliquer pourquoi j'ai voulu continuer à l'alimenter. La raison est simple : parce que j'aime ça. Enfant, j'écrivais des livres ; mon premier opus, Ma soeur est un démon, a été tiré en un exemplaire. Ado, je parcourais les petites annonces de Sciences et Vie Junior à la recherche de nouveaux correspondants étrangers. En classe de troisième, j'avais soumis trois manuscrits aux Editions Corps-Puce : on m'avait même encouragée à retravailler un texte ! Ecrire est pour moi une nécessité, c'est un moyen de partage mais aussi un exercice qui  me permet de mettre de l'ordre dans mes idées et de passer à autre chose. J'aime le sentiment d'accomplissement qui m'envahit après avoir écrit, notamment lorsque je publie un nouveau billet sur mon blog. Si j'ai repris l'écriture de mon blog, c'est avant tout pour retrouver ce sentiment.

L'envie, voire le besoin d'être lu(e), connu(e) et suivi(e) est bien réel mais si l'envie d'avoir un blog connu est plus que grande que le plaisir que vous prendrez à créer, vous risquez de vous décourager. Fédérer une audience prend du temps : il a fallu un an au photographe Brandon du projet Humans of New York pour que sa page facebook décolle. Un an ! Si sa première motivation était d'être connu, il aurait trouvé l'année bien longue. On cite aussi souvent Garande Doré comme exemple de blogueuse à succès mais on oublie qu'il lui a fallu des années, après des débuts modestes (son premier blog était hébérgé sur Haut et Fort) avant de devenir Garance Doré.

C'est ce plaisir à s'exprimer (par l'intermédiaire de photos, de vidéos ou d'écrits) qui doit nous motiver à créer un blog. Se savoir lu(e) est un sentiment magique mais c'est un plaisir supplémentaire à celui que j'ai à créer. Le premier moteur de la création, c'est le plaisir que l'on trouve à créer.

Quelques livres pour poursuivre la réflexion :

Big Magic d'Elizabeth Gilbert, disponible en français sous le titre : Comme par magie: Vivre sa créativité sans la craindre. J'ai adoré ce livre joyeux et énergisant !


Bird by Bird d'Anne Lamott, que je recommande aux futurs auteurs.


Manuel d'écriture et de survie de Martin Page dont je vous avais déjà parlé ici.


A suivre...

Monday, February 1, 2016

St Barth pile et face

St Barth!!... le mythe !!!
les yachts, les stars, les boutiques de luxe pour milliardaires atteints de fièvre acheteuse, les villas privées ou hôtels aux piscines défiant la loi de la gravité accrochée aux falaises de l'île pour une vue imprenable.
Tout ça existe bel et bien et est accessible au regard du commun des mortels que nous sommes.
Ti'Amaraa a partagé ses mouillages de Corossol, Colombier et île fourchue avec des unités flottantes issues des magazines de voiles et motoryacht. C'est un régal pour les yeux. Le mode de vie, les jouets à bord, le timing et les équipages ne sont pas les mêmes, mais in fine nous avons la même vue et vivons les mêmes couchers de soleil.


Déambuler sur le dock de Gustavia ou dans ses rues nous fait l'effet d'être deux adultes chez Mickey. Ce monde est brillant, clinquant mais ce n'est pas le notre. On voit bien aux devantures et vitrines que notre budget ''vie à bord '' ne correspond pas aux standards mais il y a de la place pour tout le monde ici.


Le plaisancier est aussi le bienvenu sur le caillou. Il y a même de la place pour notre cata au port si on le souhaite pour environ 70€ la nuit (sensiblement le même prix qu'à Grenade et moins cher que St Martin !!). Pour rester au mouillage de la capitale tant côté Gustavia que Corossol, il faut s'acquitter d'une redevance quotidienne (environ 16€ pour notre 39 pieds). Sur le principe, nous n'aimons pas payer pour être sur notre ancre sans aucun autre service que l'accès au local poubelle. Cependant, après plus d'un an en Caraïbes, nous avons trop vu de jolis coins encombrés de bateaux fantômes pour lesquels le voyage s'est arrêté. Ils flottent (ou presque pour certains) entre deux eaux abandonnés des bons soins de leurs équipages. St Barth protège son image, comment le lui reprocher ?
L'eau, même au port, est cristalline. Les tortues reprennent leur souffle imperturbables au milieu du bal des annexes.
A terre, l'île est un écrin serin et hyper safe. L' environnement est protégé. Les tortues terrestres se baladent au bord des routes et des chemins.
La loi littoral est aussi très respectée . Toutes les très belles plages (Gouverneneur, Salines, St Jean, Flamands, les piscines naturelles ...)  sont accessibles à tous. Aucun dollar n'a pour le moment réussi à acheter ses beautés. À l'inverse, cet afflux de cash permet d'offrir aux résidents des espaces beaux, propres, entretenus et un bassin d'emploi actif.


Et, c'est ce St Barth côté face que nous avons apprécié: celui des gens ''normaux'' qui vivent, travaillent ici et aiment leur île. 
Quels meilleurs ambassadeurs qu'Eurielle et Antoine de Cataja (www.cataja.me) ?

Notre escale à Corossol n'était effectivement pas un hasard. Nous avions hâte de retrouver la tribu Ja sur leur beau Bahia 46 posés ici depuis plusieurs mois. 5 mois se sont écoulés depuis notre escale commune à Trinidad.
La joie des retrouvailles mêlée à la tonne de choses à se raconter a fait défiler cette semaine telle une minute.

Le footing by St Barth sur le stade de Mr Ibrahimovich restera un Best.
Nous n'oublierons pas non plus ce snorkelling incroyable dans la rade de Gustavia sur une épave couverte de belles concrétions accompagnés de barracudas par dizaine, de poissons tropicaux majestueux, de tortues paresseuses et...  top du top de requins nourrices!! Nos premiers aux Antilles. Merci ;))

Parmi les beaux souvenirs Caraïbe, l'île fourchue a aussi décroché son pass d'entrée. Un goût de Robinson Crusoé sur cette île déserte ''perdue'' entre les deux grandes soeurs hyperactives St Barthélémy et St Martin. Les lézards vigoureux, les fous nichés dans les falaises et les frégates aériennes se partagent ce territoire sauvage décoré de cactus uniques. Nous y avons passé un superbe week-end paisible sur bouée à partager de bons moments et de belles balades avec les Cataja.
'' Votre île est belle. Nous emportons un bout de vous dans nos coeurs .''



Lorsque le soleil du dimanche soir se couche sur nos deux chemins qui se séparent, nous avons le sentiment d'être des privilégiés avec notre voyage qui continue et qui nous enthousiasme.
Nostalgie quand tu nous tiens...
Allez, hauts les coeurs, en route Ti'Amaraa... 
De jolis bords vers Tintamarre, St Martin et les BVI nous attendent.
À bientôt les amis et encore mille mercis pour votre accueil, vos sourires, le temps que vous nous avez accordé malgré vos plannings et merci pour toutes ses petites choses qui font que vous êtes les seuls et uniques: Ja !!! 



Etes-vous atteint par le candida albican?

Bonjour tous et toutes,

Le 4 février, soit dans 3 jours, cela fera pile 3 mois que j'ai débuté mon régime alimentaire (AIP+pauvre en FODMAP+pauvre en histamine).

Je pensais fêter ces 3 mois, 3 mois de re-vie, 3 mois de mieux être, 3 mois de diminution des douleurs.

Mais malheureusement, j'ai une mauvaise nouvelle à vous annoncer.
Le candida albican est de retour.


Je m'en étais débarassée et il est revenu.
Et je vais vous expliquer pourquoi, et comment savoir si vous avez aussi le candida :